LE PHARE DU RISBAN
C’est en 1838 que commence la construction du phare du Risban à Dunkerque. Il sera mis en service en 1843.
C’est une tour cylindrique blanche d’une hauteur de 63 mètres. Mais savez-vous combien il y a de marches ?
Voici un petit jeu proposé dans notre livre « 555 JEUX – chiffres, nombres, logique » qui vous permettra de le savoir.
OPERATION DYNAMO A TETEGHEM
Lorsqu’on parle de l’Opération Dynamo, on pense à l’évacuation des troupes anglaises par les plages de Dunkerque, Malo-les-Bains,… mais on oublie de parler de ce qui s’est passé en amont dans les villages aux alentours où ont eu lieu les combats sanglants pour freiner la progression des Allemands. C’est le cas de Téteghem.
Voici quelques témoignages tirés du livre « A Téteghem de 1939 à 1945 »
« Le 31 mai, des obus arrivent sur Téteghem. Les 1er, 2 et 3 juin, le village est terriblement bombardé par avions et par obus qui nous arrivent depuis le canal de la basse-Colme qui constitue le front tout proche, à quatre kilomètres de chez nous...
Un obus sur l’abri ! Nous sommes tous enfouis ; nous sortons dans une nuée de poussière… des mères perdent leurs enfants qui meurent jusque dans leurs bras ; des enfants voient leurs mères tuées. Un autre obus tombe… un éclat tombe sur mon genou, à bout de course heureusement ; je le rejette tout brûlant…
Un terrible bombardement se déclenche sur le village… Des obus pleuvent autour de moi à quelques mètres seulement. Des cailloux me tombent sur la tête… Il y a là justement un gros tank qui ne sait plus avancer, je frappe de toutes mes forces à coup de poings dans la paroi afin que l’on m’entende, l’on me répond, je m’y abrite… »
JOLIE LEGENDE ROSENDALIENNE
LITHOGRAPHIE DE DUNKERQUE EN 1827
Cette lithographie date de 1827. Elle est l'oeuvre de Victor Adam, né à Paris en 1801 et mort à Viroflay en 1866.
Il est le fils du compositeur Jean-Louis Adam et le frère d'Adolphe-Charles Adam, lui aussi compositeur, connu pour son ballet" Giselle" et surtout pour son chant de Noël "Minuit, chrétiens"
IL Y A PLUS DE 50 ANS L'IMPRIMERIE PACAUD
LE FEU DE SAINT-POL-SUR-MER RESPECTE BIEN LES PROPORTIONS DU NOMBRE D’OR
L’architecte Gustave Umbdenstock qui construisit le feu de Saint-Pol, enseignait les règles d’architecture et avait écrit aussi des traités sur ce sujet. Il expliquait que les considérations sur la légèreté ou la lourdeur s’additionnent au rappel de quelques bases fondées sur des rapports simples entre les parties qui relèvent de la récurrence des nombres.
J’ai donc recherché quelles proportions pouvaient-on trouver sur le feu de St-Pol ? Avait-il respecté les principes même qu’il enseignait ?
Voici mes conclusions :
Sur l'image, mesurez la hauteur totale H du phare et la largeur maximale L de celui-ci (c'est à dire en fait, les dimensions de l'image).
On constate d'abord que la hauteur du phare est partagée en deux parties égales, la partie enflée et le tronc soit H/2.
Faites la division de cette valeur H/2 par L, vous trouvez 1,6 environ (suivant la précision de vos mesures). C'est le nombre d'or.